Dystopiales n°9

Aujourd'hui se tenait les Dystopiales n°9 à la Librairie Charybde. L'occasion de rencontrer et d'échanger avec quelques auteurs...

Arrivé dans les premiers, j'ai pu profiter des auteurs avant l'affluence et fait coucou à Charybde n°1 ; n°2 et n°"je ne sais plus combien"...

 Charybde n°1 qui n'aime pas être photographiée et M Scylla alias Charybde n° "je ne sais plus combien"

 Charybde 2, roi du coupe file et grand prescripteur de livre en ce qui me concerne...

Xavier de Scylla / Charybde n° ?, toujours très doué pour poser.

J'ai échangé quelques impressions avec Vladimir Lortchenkov, auteur Des mille et une façons de quitter la Moldavie. Un moment très agréable, amusant de découvrir que quelques passages du livre ont été inspirées par des faits réels... L'absurde rejoignant le réel.

Le nouveau recueil de Mélanie Fazi étant paru récemment, j'ai profité de la présence de l'auteur pour l'acquérir et le faire dédicacer.

La présence de Jo Walton m'a permis d'avoir une intéressante discussion avec elle sur Morwenna. Bien évidemment, elle refuse le terme de "name dropping" pour le nombre d'oeuvres et d'auteurs de SF cités, plutôt une manière d'évoquer le temps libre dont dispose le personnage. Quoi qu'il en soit Morwenna reste un livre des plus plaisants et j'attends avec impatience la traduction de son prochain roman.

 Enfin j'ai pu discuter quelques instants avec Anne-Sylvie Salzman à propos des Dernières nouvelles d'Oesthrénie,

Très concentrée sur son nounours haribo...

A noter aussi la présence de Yves et Ada Rémy en simple visiteurs...

Ayant fait le tour des auteurs que je souhaitais rencontrer et le nombre de personnes présentes rendant la circulation dans la librairie, je me suis éclipsé... Un évènement réussi tant pour le nombre d'auteurs présents que celui de visiteurs.

Comments

[Vert]

On a parlé à Jo Walton de sa "liste" aux Utopiales, elle était "effarée" qu'on veuille lire certains titres vu qu'elle a mis de très bons trucs mais aussi de très mauvais, pour montrer justement que Morwenna n'a pas forcément encore trop forgé son "goût".